Aujourd’hui, premier jour des vacances, c’est l’occasion d’une balade avec ma fille aînée, 3 ans, au lac des Taillères, près de la Brévine (NE, Suisse). Une jolie sortie en ces beaux jours ensoleillés d’automne et la possibilité de tester le nouveau venu en condition.
Cette balade était à la fois la possibilité de passer un bon moment avec ma fille – le récit côté papa est disponible sur le blog Papa jour après jour – et de faire de belles photos, grâce au cadre, à la météo et au nouvel appareil photo. C’est le récit de cette seconde partie que vous trouverez ici.
J’ai déjà testé ce week-end mon nouveau « petit » appareil photo. Aujourd’hui, c’était donc un second test, dans d’autres conditions, et après avoir effectué les premiers réglages de configuration grâce aux bons conseils de BEJO photography.
Faire cohabiter photo et famille
Aujourd’hui, j’étais seul avec ma petite puce de 3 ans. Donc une main occupée la plupart du temps ! Cet appareil, acheté particulièrement pour les sorties en famille, partielle ou complète, trouve donc toute son utilité ici. Léger, de bonne ergonomie, il se manoeuvre aisément d’une seule main. Même lors de prise de vue au viseur, la main droite peut à la fois effectuer les réglages, même fins, et prendre la photo. J’ai programmé le bouton fonction sur le centre de la grosse molette pour régler la zone de mise au point, ainsi pas beosin d’ouvrir l’écran pour choisir la zone. C’est efficace et, après quelques photos, on règle facilement ce point sans lever l’oeil du viseur ni lâcher la main de sa fille chérie.
Le point « famille » du cahier des charges semble être tout à fait rempli, sans même devoir faire des photos en mode « P ».
Mise au point, balance des blancs, compensation de l’exposition
Lors de la première utilisation, j’avais mentionné le « souci » d’une montée en ISO très rapide, voire même exagérée. Aujourd’hui, j’ai eu une aventure un peu semblable : tout à coup, les photos sont devenues sombres. La compensation de l’exposition très bien placée m’a permis de pallier à ce souci et de vérifier à chaque fois cette fonction. Le réglage de la luminosité reste encore un mystère, et donc une possibilité d’apprendre !
Angles particuliers & selfy
Lors du premier essai, j’avais photographié des champignons au ras du sol, aujourd’hui, c’était le tour de la rosée, sur un côté du lac encore à l’ombre, Ici encore, l’écran orientable était d’une grande aide pour pouvoir presque poser l’appareil photo au sol. Pas de macro bien sûr, mais un effet de profondeur de champ sympathique.
Une sortie père-fille, c’était aussi l’occasion de tenter le selfy à la mode : plutôt facile avec l’écran qui pivote à 180 degrés.
Panorama
Par rapport au LX100 qui demandait à chaque fois de repasser en mode JPG uniquement, il y a du progrès. Si le panorama n’est toujours disponible qu’en version « développée » – ce qui se comprend techniquement parlant – on peut maintenant le prendre même si le mode d’enregistrement est réglé sur « format brut » (RAW) ou RAW+JPEG.
La prise se fait assez facilement, à main levée, mais il faut veiller à avoir la bonne vitesse, ni trop lente, ni trop rapide. Un contrôle du résultat avec la fonction de défilement peut être utile afin de vérifier qu’il n’y a pas d’erreur. Les premiers ont eu un problème de vitesse (trop lent puis trop rapide), le premier correct avait un saut d’image, le second essai également, mais vu seulement à la maison en préparant cet article.
La batterie
Parfois épinglée comme légère, aucun soucis ni pour le premier, ni pour le deuxième test. Avec une centaine de photos prises et quelques réglages, seul 1/3 de la batterie a été utilisé.
… et la qualité des images ?
Profitant d’un bon ensoleillement et donc d’une bonne lumière, la plupart des photos sont en ISO 200 (mode ISO auto). Au sortir de Lightroom, avec une correction appuyée, le bruit est quasiment absent. Le piqué est plutôt bon, les couleurs aussi. A vous d’en juger sur les photos ci-dessus.
Ce deuxième essai est donc toujours concluant. Pour aller plus loin, il faudra me plonger plus profondément dans le mode d’emploi, pour comprendre ce que certains termes ésotériques peuvent apporter à ma pratique.